Mes chers collègues, je vous invite à respecter les orateurs et les oratrices qui posent les questions ou qui y répondent. On se plaint suffisamment qu'il n'est pas assez souvent question de l'Europe dans cette assemblée, pour que, lorsque l'on en parle, les voix ne soient pas couvertes par du chahut ou du brouhaha. Chacun peut s'exprimer, formuler son point de vue, ses critiques comme son adhésion. C'est la liberté de parole à l'Assemblée.