mais il s'agit là d'un point essentiel du texte, d'une disposition qui risque de conduire à une aggravation très forte de la situation actuelle en élargissant les conditions de l'exercice du droit d'asile applicables jusqu'alors – et que vous avez soutenues, chers collègues socialistes. Il ne s'agit pas pour nous de revenir en arrière : nous proposons seulement de maintenir l'état du droit en vigueur. C'est une erreur, monsieur le président, de nous priver de parole à ce stade du débat, sur un point aussi important. Croyez-moi, vous ne gagnerez pas du temps avec de telles méthodes !