Sur le fondement de l'article 47, monsieur le président.
Comme vous le disiez, monsieur le président, nous allons interrompre nos travaux dans une demi-heure. Peut-être des réponses seront-elles apportées à nos collègues Les Républicains ? C'est en effet leur droit de poser des questions même si l'on peut tout de même contester leur manière de le faire – je rejoins les propos que ma collègue Caroline Fiat a tenus tout à l'heure. Cela dit, c'est leur droit.
Je tiens à rappeler ce que j'ai dit au début de la séance puisque nous en sommes à peu près au même point.
Tout le monde a bien compris la stratégie très légitime des Républicains – encore une fois, ce n'est pas un jugement de valeur – , très offensifs sur ce texte, afin d'obtenir des réponses et de défendre tous leurs amendements. J'aimerais que ce qui est possible maintenant le soit également pendant l'ensemble des discussions à venir sur un certain nombre d'articles qui, à nos yeux, sont importants et sur lesquels nous souhaiterions que les conditions de débat soient décentes. C'est d'autant plus important que les arguments échangés pendant ces premières journées d'examen du texte n'ont peut-être pas beaucoup honoré la représentation nationale. Nous avons encore théoriquement 25 heures d'examen…