En ce qui concerne l'IRFM, qui nous concerne tous, j'ai constaté certaines irrégularités de fonctionnement. Cela ne me concerne pas personnellement – je peux donc en parler à mon aise – , mais certains de nos collègues ne disposent pas d'un bureau dans lequel ils peuvent dormir, ce qui les oblige à prélever sur leur IRFM trente euros par jour pour se loger. À la fin du mois, cette situation crée entre nous une irrégularité réelle.
Il faut donc tout mettre sur la table et essayer de trouver une solution équitable, car il n'est pas normal que, faute de disposer d'un bureau avec couchage, un élu de Bordeaux soit contraint de loger à l'hôtel.
La discussion est intéressante. Au moins, il y a un débat clair et, pour une fois, nous nous écoutons. Continuons à le faire. L'IRFM doit être remise à plat.