C'est certainement pour vous une façon d'amadouer l'aile gauche de La République en marche, qui compte de très nombreux anciens socialistes en son sein. D'une certaine façon, avec ce plan caché de régularisation, vous régleriez en partie le problème du nombre important de recours devant la CNDA : les demandeurs d'asile n'auraient plus besoin de former un recours à la suite du rejet de leur demande puisque, s'ils se maintenaient sur le territoire national sans droit ni titre, ils seraient tôt ou tard régularisés !
Ma question sera donc très simple, monsieur le ministre d'État : confirmez-vous, oui ou non, l'existence du plan de régularisation massive dont la presse s'est fait l'écho ?