Cumulés aux différentes phases de procédure, ils feront en sorte que les demandeurs d'asile resteront sur le territoire national pendant des années, dans l'attente d'une réponse définitive de notre système juridique. Au bout de quoi ils alimenteront le nombre des clandestins présents sur notre territoire, puisqu'une fois déboutés, les demandeurs deviendront des clandestins. À l'heure actuelle, entre 300 000 et 400 000 clandestins sont présents en France, dont nous avons récemment appris que 10 % allaient être régularisés.