Cela renvoie aux procédures d'habilitation et à l'obligation que nous pourrions imposer aux exploitants, dans le cadre des autorisations, de se doter d'une politique renforcée de confidentialité des données. Certains auditeurs étrangers ont évoqué, en outre, la nécessité d'aller plus loin dans la définition des informations classées « confidentiel défense ».
Je souligne également que ce ne sont pas les données techniques, prises isolément, qui revêtent un caractère sensible, mais leur agrégation.
Nous ne sommes pas encore allés au bout de nos réflexions en matière de transparence et d'accessibilité des données ni de recours aux ordinateurs portables au sein des entreprises. Ce sont des questions dont nous traitons au sein des groupes de travail avec l'ANSSI.