Quand nous avons évoqué les risques de chute d'avion de ligne sur les piscines de refroidissement, nous avons recueilli des réponses variées. Les représentants d'Orano ont, par exemple, avancé que l'avion se disloquerait avant. Or, lors de l'attaque du 11 septembre, les avions ne se sont pas disloqués avant, puisqu'ils ont conduit à l'effondrement des Tours jumelles. D'autres insistent sur le fait que la sécurité des piscines de refroidissement repose sur toutes les mesures prises en amont pour éviter qu'un avion ne soit détourné et que c'est la conjonction de ces diverses mesures qui permet d'assurer une sécurité optimale.
D'après vos tests, un avion qui tomberait sur une piscine de refroidissement, notamment celle de La Hague, ou sur les piscines d'entreposage de combustibles autour des centrales provoquerait-il un dénoyage ?