Mme la rapporteure, on peut trouver tous les arguments pour justifier cet article, mais pas faire parler des associations qui disent le contraire. N'instrumentalisez pas les associations : même avec la censure partielle de la circulaire du ministère de l'intérieur par le Conseil d'État, aucune association qui gère des hébergements d'urgence ne souscrit aujourd'hui à cette évolution de la loi. Laissez donc les associations où elles sont, laissez-leur l'autonomie de jugement et, surtout, ne les instrumentalisez pas : cela pourrait se retourner contre vous.