Lorsqu'on essaie de reconstituer un État en Libye, c'est encore un autre bout de la chaîne. Lorsque nous travaillons, avec le président du Conseil et le ministre de l'intérieur italiens, pour trouver un accord entre nous, c'est encore un bout de la chaîne.
Je m'inquiète, évidemment, lorsque des populistes veulent raisonner uniquement à l'échelle de leur pays, car ce serait la guerre de chacun contre chacun là où nous devons avoir de la coopération.
Précédemment, nous avons coopéré avec les ministres de l'intérieur allemand et italien.