Il s'agit de ne pas déshumaniser un sujet éminemment humain. Le demandeur d'asile doit pouvoir, s'il le souhaite, s'exprimer face au magistrat qui va décider de son sort, de sa vie. Cela lui permettra de mieux se défendre et de mieux être entendu dans un colloque singulier, dans le respect de sa liberté de choix.