Il s'agit d'un moment un peu particulier, où le demandeur d'asile est confronté à son parcours et sa fragilité. Nos échanges en commission des lois nous ont permis d'avancer sur le point extrêmement important de la présence d'un interprète. Il conviendrait cependant de garantir que l'interprète sera dans la même pièce que le demandeur d'asile, et non pas à des milliers de kilomètres.
Si l'interprète ne peut pas être présent, cet amendement tend à garantir à tout le moins la présence du demandeur d'asile devant la CNDA.