Cet amendement tend à supprimer l'alinéa 8 aux termes duquel le consentement du requérant pour tenir une vidéo-audience n'est plus obligatoire. Nous souhaitons maintenir la possibilité pour la personne concernée de s'opposer à une audience en vidéo.
Nous avons eu longuement le débat sur les raisons qui justifient notre demande, particulièrement pour des personnes vulnérables ayant subi des violences ou des sévices sexuels et qui peuvent être inhibées par le recours aux moyens audiovisuels.