Monsieur le ministre d'État, j'aimerais savoir si ces chiffres sont exacts. Si c'est le cas, on peut considérer les aides au retour comme autant de primes à la délinquance. Non seulement on sort de prison des personnes incarcérées pour des actes de délinquance et on les place dans des centres de rétention avant de les reconduire dans leur pays d'origine, mais, en plus, on leur offre un petit pécule pour qu'elles puissent repartir chez elles. Je ne pense pas que ce soit un bon exemple à donner.