Il n'y aura jamais de mots assez forts pour décrire les horreurs que notre pays a connues ces dernières années. Face à ces tragédies, nous devons rester non seulement solidaires, comme nous l'avons toujours été, mais aussi lucides.
Il est important de mettre un terme au « pas d'amalgame » et à la politique de l'excuse, notamment sociale sur le terrorisme. Celui-ci ne s'explique pas par une hausse du chômage ou d'autres considérations. C'est bien le totalitarisme islamique qui tue et alimente encore l'antisémitisme. Si nous arrivons arriver à éliminer ceux qui se revendiquent de ce morbide État islamique, la lutte contre cette idéologie, on le sait, prendra du temps, mais nous pourrions y parvenir.
Nous devons cependant cesser d'être impuissants, considérant que nos lois sont gravées dans le marbre. Oui, nous sommes en guerre, et notre droit doit évoluer. Tout le monde n'est pas terroriste parce qu'il est étranger, c'est une évidence, mais pourquoi ne pas agir ?
Nous devons expulser les étrangers qui ne respectent pas les principes fondamentaux de notre République. Je rappelle, comme cela a déjà été évoqué, que cela ne suffira pas à empêcher le terrorisme, mais c'est déjà un début et un signal de justice.
Rappelons que l'assassin de Nice, responsable de l'attentat de 2016, avait été condamné et qu'il aurait dû être expulsé en Tunisie. Nous n'aurions alors pas connu cette affaire abominable.
Je rappelle aussi que le terroriste de Marseille était un clandestin multirécidiviste, arrêté deux jours avant l'attentat, …