Sans le faire de façon désagréable, j'invite notre collègue Éric Ciotti à lire l'amendement du Gouvernement. Il me semble, cher collègue, qu'il écarte les risques dont vous avez fait état, et en tout cas ceux liés aux filières contre lesquelles nous souhaitons tous lutter.
Nous avons essayé de trouver un point d'équilibre entre le droit d'humanité que peuvent exercer les Françaises et les Français et les prérogatives des forces de l'ordre et de la justice.