Je préfère pour ma part rester dans l'état d'esprit de la brillante intervention de notre collègue Cédric Villani. La France doit se donner la capacité de s'ouvrir aux talents du monde : il y va de son rayonnement. La vision que vous prônez de ce rayonnement me semblant quelque peu étriquée, l'avis est défavorable sur vos amendements.