Bien sûr, nous avons eu le rapport de Greenpeace, et nous avons analysé les différents scénarios qui y étaient développés – et même d'autres, qui n'étaient pas évoqués. Et nous essayons évidemment d'apporter les réponses.
La réponse que l'on donne en termes de sécurité évolue sans cesse. Et dans les mesures que nous prenons, nous tenons compte de l'évolution des technologies et de la menace. La menace de demain n'est pas forcément la menace d'hier ; cela exige des adaptations continues.