Madame Roche, les plans dérobés à Amnéville étaient partiels et ne concernaient pas la zone sensible. Ceux-ci sont classifiés et ne sont pas mis à la disposition des sous-traitants, il n'y a pas des dizaines de personnes qui se promènent dans les rues avec les plans de la centrale… Tout le monde est extrêmement sensibilisé au risque et au respect de la confidentialité.
S'agissant des PSPG, nous les renforçons à la mesure du risque que nous évaluons. Si nous pensions qu'il fallait encore les renforcer, nous le ferions.
Madame Goulet, je vous ai dit que nous sommes en train de réfléchir à une modification de la législation sur l'usage des armes. Le Gouvernement est en cours de réflexion, nous aurons des éléments dans les prochains temps.
En ce qui concerne les bateaux, chaque centrale a un plan de protection contre le risque mer, et ce sont les préfets maritimes qui sont chargés de le dresser.