Oui, madame la rapporteure, cela passe par une rupture juridique et, vous le savez, nous y avons beaucoup réfléchi. Il est vrai que, voilà dix ans, lorsque Nicolas Sarkozy était Président de la République, cette question a été posée, mais n'a pas été tranchée – ce que, personnellement, je regrette, quand bien même je me suis, avec d'autres, impliqué sur ce dossier. Il appartient à notre génération d'assumer ses responsabilités, car nous avons un devoir d'inventaire, mais aussi d'invention.