Avec tout le respect que nous avons les uns pour les autres et pour vous, président Ferrand, la vivacité des échanges et les verbes parfois un peu hauts n'autorisent pas les plus basses provocations.
« Les faits sont têtus », comme le disait un grand révolutionnaire. Vous voulez que l'on compare la présence dans l'hémicycle des députés et des présidents de groupe ? Pas de problème ! Je viens à l'instant de publier sur un réseau social les statistiques de votre présence : vous n'êtes pas intermittent, vous alternez absence et non-présence, à la différence du président Mélenchon. Ce n'est pas à votre gloire.