Si je vous parle de priorité nationale, disais-je, c'est que, dans des domaines toujours plus nombreux, la priorité étrangère s'impose. Autrement dit, les Français sont moins bien traités dans leur propre pays que les étrangers, parfois même clandestins. J'en veux pour preuve, par exemple, l'aide médicale d'État, dont les Français assument le coût par leurs cotisations alors qu'elle permet aux clandestins d'être intégralement pris en charge.
C'est vrai aussi pour les transports en Île-de-France, pour lesquels les clandestins paient une somme minime alors que les Français, même ceux qui gagnent le SMIC, doivent payer « plein pot », pour eux et accessoirement pour leurs enfants. C'est vrai également pour le logement social.