Ils seraient contraires à l'article 3 du protocole no 4 de la Convention européenne des droits de l'homme, aux termes duquel « nul ne peut être privé du droit d'entrer sur le territoire de l'État dont il est le ressortissant ».
Notre pays dispose cependant de procédures judiciaires qui permettent d'interpeller des individus qui présentent de telles menaces, dès lors qu'ils sont identifiés, à leur entrée sur le territoire. Avis défavorable.