Si nous avons formulé cette demande, c'est parce que les associations elles-mêmes nous ont alertés sur le financement des ateliers sociolinguistiques. Nous nous sommes saisis du problème. J'ai interpellé le Gouvernement par écrit sur le sujet. J'attends toujours sa réponse.
J'insiste sur le fait que les formations ne sont accessibles qu'aux primo-arrivants et que, chaque année, les ASL ignorent si les financements seront renouvelés, puisque la préfecture peut les limiter.
Vous prétendez être à l'écoute des associations. Ce sont justement elles qui ont souligné le problème. Aux termes des dispositions actuelles, 90 % des personnes qui participent aujourd'hui à ces ateliers, du moins dans les associations de quartier du 19e arrondissement, ne devraient plus y avoir accès. C'est pour répondre à…