Je sais bien qu'il se fait tard, et que nous en venons aux questions ultramarines. Mais nos amendements ont été travaillés, de façon approfondie, notamment par notre collègue Jean-Hugues Ratenon, dont le mandat populaire vaut celui de n'importe lequel d'entre nous. Madame la rapporteure, pourriez-vous justifier un tout petit peu plus vos avis qu'en disant « favorable » ou « défavorable » – ou, pour nous, simplement « défavorable » ?
Nous aimerions comprendre pourquoi vous repoussez toutes nos propositions. Ce serait sympathique, tant pour nous que pour les gens qui, encore tard ce soir, regardent nos débats.