Je veux remercier ceux qui nous soutiennent et m'adresser à mes collègues.
Je vous demande, vraiment, d'entendre la détresse des Mahoraises et des Mahorais. Ils sont dans la rue depuis deux mois pour réclamer la sécurité, pour dire leur exaspération, leur colère, leur peur. Je sens dans cette enceinte les tensions qui peuvent exister entre la majorité et l'extrême droite, mais la question qui nous est posée ce soir n'est pas celle-là. Nous pouvons peut-être franchir l'étape du dessus et faire en sorte que sur l'ensemble des bancs, la détresse des Mahorais soit entendue.
Je vous le demande, je vous en conjure, votez, s'il vous plaît, ces propositions.