Monsieur le président, monsieur le ministre d'État, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement, chers collègues, c'est avec une certaine gravité qu'après sept jours et quelques nuits de débat en séance, mon groupe aborde ce vote sur une loi qui, à nos yeux comme aux yeux de beaucoup d'autres, affaiblit le droit d'asile.