La notion de suivi de la qualité de l'air n'est pas aussi précise que M. le rapporteur le laisse entendre. Les associations agréées de surveillance de la qualité de l'air (AASQA) se limitent aux concentrations de dioxyde de carbone et d'oxyde d'azote issues par les véhicules à combustion thermique. Elles ne mesurent pas la présence de particules de produits phytopharmaceutiques dans l'air. C'est la raison pour laquelle il me semble important d'indiquer clairement que ces plans prennent en compte leur impact.