Mes chers collègues, nous reprenons l'examen des articles du projet de loi renforçant la lutte contre les violences sexuelles et sexistes, après l'article 2. Il nous reste cent quarante et un amendements à examiner.
Auparavant, je tiens à rappeler que je veille à ce que l'ensemble des groupes politiques de l'Assemblée puissent s'exprimer pleinement au sein de notre commission. Ils ont pu le faire sur le projet de loi que nous examinons depuis ce matin, et auquel nous avons déjà consacré plusieurs heures.
L'un des membres de la commission des Lois a toutefois jugé utile de poster un tweet indiquant que je limitais les débats et qu'il s'agissait d'une conception « un peu particulière » de la démocratie de la part de La République en Marche. J'aurais aimé lui dire que ce n'est pas le cas, et qu'il aurait pu s'exprimer à ce propos au sein de notre commission, mais, malheureusement, il n'est plus là pour débattre avec nous. Je tenais simplement à rappeler que, lorsque l'on est député de la République, les débats ont lieu en commission des Lois et non sur Twitter. (Applaudissements.)