… dans un état d'esprit constructif. Je ne citerai personne car il ne s'agit pas d'une attaque ad hominem. Je travaille depuis plus d'une dizaine d'années sur la question de la culture du viol et de la déconstruction de la culture du viol, en particulier la sémantique. J'ai entendu à plusieurs reprises : « il s'est fait violer », « elle s'est fait violer ». On ne se fait pas violer ; on est violé. C'est important de faire la différence, celles et ceux qui travaillent sur la culture du viol le savent, et je parle sous le contrôle de Mme Autain.