Nous connaissons tous votre engagement sur cette question, madame la députée, puisque vous l'avez défendue à de nombreuses reprises, notamment en commission des lois.
Face à des situations de recomposition familiale de plus en plus nombreuses, il peut sembler nécessaire de combler une absence de surqualification juridique qui entoure les viols, notamment sur les enfants du conjoint. Même s'il y a une interrogation sur la terminologie, le Gouvernement partage la philosophie de ce que vous évoquiez sur l'interdit de l'inceste.
L'avis est donc de sagesse.