Il a été question de « gauloiserie » et de « chasse à l'homme ». Je ne crois pas qu'agir contre le harcèlement de rue revienne à mener une quelconque chasse à l'homme, et si village gaulois il y a, c'est celui de ces hommes reclus dans leurs comportements agressifs, offensants, prisonniers derrière des barrières qu'ils créent eux-mêmes.
Si nous sommes certains d'une chose, c'est que respecter l'autre n'est pas contraignant, n'est pas une atteinte à sa propre liberté ; au contraire, c'est une façon de se grandir et de servir sa propre humanité.