Je soutiens quant à moi la proposition de M. Bazin. Certes, je comprends l'esprit des projets partenariaux mais le fait que l'installation d'une ZAC communautaire – procédure qui a ses vertus, car elle « permet de faire », comme on dit – soit soumise à la condition préalable d'un plan de financement et d'un calendrier prévisionnels a tout de même permis d'éviter quelques catastrophes financières aux collectivités et, du même coup, aux contribuables. Il ne me semble donc pas inutile de définir a priori le financement et le calendrier de ces projets.