Je peux partager une partie des inquiétudes exprimées par Mme Obono mais en même temps – comme dirait le président – , je voudrais rendre justice à ce que sont les journalistes.
Je ne voudrais pas qu'on résume leur métier à une pure et simple soumission aux injonctions de leurs actionnaires : ce serait une vision formidablement limitée de ce que sont leur liberté et leur capacité à avancer quoi que leur rédaction puisse leur dire. On ne peut pas laisser penser, comme vous venez de le faire, que la presse serait le simple résultat des desiderata des actionnaires. Ce n'est pas vrai.
Le 01/08/2017 à 21:56, fab a dit :
Mr Faure n'a pas visiblement rien compris à la proposition de Madame Obono. C'est dommage.
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