Beaucoup de maires ruraux nous alertent sur la paupérisation des centres-bourgs, liée à la multiplication de constructions en périphérie, sur des lots ayant été divisés. Pour lutter contre cet effet pervers de la loi ALUR, nous demandons le rétablissement de l'article L. 123-1-5 du code de l'urbanisme, qui permet aux maires d'imposer des surfaces minimales pour construire.