Ce que l'on va construire après n'est pas concerné ici. Aujourd'hui, les arrêtés d'insalubrité sont encadrés par la loi ; le cheminement reste le même. Si destruction il doit y avoir, parce que l'on estime que le bâtiment tombe sous le coup de cet article, ce qui sera reconstruit à la place restera soumis à l'avis conforme de l'ABF.