En disant que c'est l'Europe qui, avec le droit de la concurrence, ne permet pas d'aller plus loin, vous vous placez en retrait par rapport à ce qu'elle pourrait permettre.
Avec de la volonté, on peut fait bouger les lignes : nous l'avons constaté lors de la précédente législature, s'agissant notamment de l'étiquetage des viandes transformées ou des produits laitiers.