En deuxième lieu, si les attentes des consommateurs ont changé, les agriculteurs ont déjà répondu pour faire évoluer les façons de travailler. Si les comportements des consommateurs sont encore amenés à changer, aidons les agriculteurs à assumer d'autres transformations de leur métier et, surtout, offrons-leur les moyens permettant de satisfaire ces nouvelles attentes. C'est un deuxième point essentiel : donner les moyens à notre agriculture de poursuivre son évolution et ses transformations.
En troisième lieu, les agriculteurs français peinent à faire face à la concurrence de nouvelles puissances agricoles. Ayons donc en tête que toute nouvelle réglementation, toute nouvelle norme à la charge des agriculteurs constitue une nouvelle contrainte, qui pèsera de manière importante sur nos exploitations. Or, nous n'en avons pas le droit.