Il faut enfin essayer de dessiner un nouvel avenir pour cette profession qui se trouve dans le doute le plus absolu.
Des mots forts ont été prononcés, comme « confiance » et « fierté ». Il faut qu'un agriculteur puisse dire à son fils ou à sa fille de reprendre l'exploitation, et non de s'abandonner au constat de la disparition de l'activité. Cette France, qui a la chance d'avoir des terroirs extraordinairement fertiles et des savoir-faire formidables, est de plus en plus concurrencée, alors que n'oublions pas, mes chers collègues, que l'agriculture est un fleuron industriel. Ces mots, nous les avons tous prononcés.
Monsieur le ministre, avec ce texte, issu des États généraux de l'alimentation, on s'est demandé si l'on allait, oui ou non, retrouver le bon chemin. C'est dans le débat parlementaire que nous le trouverons, je l'espère. Ne vous laissez pas voler votre copie. Laissez de côté cette technostructure, …