… qui va avaler vos décisions et qui, en matière agricole – vous le savez, car vous connaissez la France agricole – , sera toujours mauvaise conseillère. Appuyez-vous sur ceux qui savent.
S'agissant des fameux indicateurs de prix, monsieur le ministre, pourquoi ne pas faire confiance avec un grand « C » à la profession, qui sait comment on constitue un prix ? Cela part d'un bon principe de connaître le prix de revient pour calculer le prix en aval, mais, monsieur le ministre, ces prix ne sont pas techniques ou évalués par des ministères. Faites confiance aux interprofessions. Au fond de vous-même, c'est ce que vous avez envie de faire. On va vous aider à le faire, mais écoutez les propositions contenues dans nos amendements…