Intervention de Anthony Cellier

Réunion du jeudi 19 avril 2018 à 10h45
Commission d'enquête sur la sûreté et la sécurité des installations nucléaires

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAnthony Cellier :

J'ai bien noté votre formule « rien de grave n'est identifié » comme étant la synthèse des phases de tests que vous opériez. C'est rassurant.

Les différentes auditions que nous avons organisées sur la thématique de la cybersécurité ont fait ressortir deux arguments. D'une part, nous avons découvert que l'aspect hermétique des centrales nucléaires n'était pas absolu. D'autre part, l'ancienneté de notre parc nucléaire, qui est donc peu informatisé, présente un atout en matière de cybersécurité. Mais j'imagine que ce ne sera plus le cas des futures installations du type EPR. J'aimerais vous entendre sur ce point et sur la façon dont vous travaillez en amont sur une telle thématique.

Si l'attaque du virus Stuxneta qui a eu lieu en 2010 avait été orientée contre nos centrales ou nos capacités de production, à cette époque-là, aurions-nous été vulnérables ?

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