D'une part, le code pénal ne protège pas si bien les gardiens que cela, et les procédures n'aboutissent que rarement. D'autre part, comme le fait remarquer notre collègue, aujourd'hui, les gardiens ne sont pas les seuls en proie à des violences verbales, voire à des violences physiques. C'est le cas de nombreux personnels qui interviennent dans les logements : des techniciens, des personnels d'accueil, les services sociaux, etc. Je souscris donc totalement à cet amendement, qui vise à élargir à l'ensemble des personnels au contact du public la protection du code pénal.