Cet observatoire n'est pas un repaire de hauts fonctionnaires qui ne savent pas en quoi consiste une relation commerciale. Dès lors, on peut très bien faire de l'observatoire l'arbitre et, en même temps, modifier sa composition interne afin de responsabiliser les filières, comme vous le souhaitez.
Telle est du moins ma préférence, car on ne peut pas rester à mi-chemin. Soit on décide que la sphère publique intervient dans une relation commerciale pour en rétablir l'équilibre, soit on fait de la demi-mesure, qui risque d'aboutir à un demi-résultat, donc à un échec total.