quand bien même nous baisserions les charges – ce qui est par ailleurs sans doute nécessaire.
Une montée en gamme de notre agriculture est nécessaire si nous voulons faire vivre nos producteurs sur le marché français, mais aussi sur les marchés d'exportation. Je le redis : si nous allons à la bagarre contre l'Ukraine sur le marché du blé de moyenne gamme ou contre l'Australie, les États-Unis ou le Canada sur la viande, nous ne serons jamais concurrentiels.