Le camarade Le Fur prend conscience du fait que les traités de libre-échange peuvent écraser les peuples, broyer les agriculteurs et remettre en cause notre identité ; il ne croit plus à la main invisible du marché : il nous dit maintenant que l'État doit se doter d'outils de régulation du marché. Je bois du petit-lait. Encore un effort ! Si ces idées se propagent dans cet hémicycle, nous pourrons muscler le projet de loi.