L'idée, avec les indicateurs, est de favoriser la bonne rémunération des produits à forte valeur ajoutée ou de les faire bénéficier d'une meilleure valorisation sur les marchés. Je prends un exemple concret, celui du roquefort : le prix payé pour le lait de brebis est fortement influencé par le fait que le roquefort est vendu très cher sur le marché français et à l'export ; si l'on retenait les coûts de production comme seul indicateur, cela risquerait, au contraire, de tirer vers le bas le prix payé pour le lait. L'avis de la commission est donc, évidemment, défavorable.