J'ai déjà développé cette argumentation. Pour ce qui est de l'intégration d'un niveau de rémunération décent, il est d'usage d'intégrer la rémunération du producteur dans ses coûts de production. Le niveau de cette rémunération est variable, mais dans l'élevage, par exemple, où les salaires réels sont souvent inférieurs à ce niveau, ce travail est valorisé à la hauteur de 1,5 SMIC par unité de main-d'oeuvre pour se rapprocher du salaire médian français.
Le salaire de l'exploitant est donc déjà pris en compte dans ces indicateurs de coûts de production. Avis défavorable.