Nous sommes souvent les premiers à critiquer leur caractère timoré mais, pour une fois, qu'ils allaient dans le bon sens, on ne les accompagne pas, ou très peu : il est simplement question d'échanges d'informations. L'amendement de M. Descrozaille, évoqué en fin d'après-midi, allait bien au-delà en autorisant non seulement des échanges d'informations mais des actions stratégiques permettant de peser sur les marchés. Si l'on n'y parvient pas, on se prive d'un moyen d'action pour nos agriculteurs. Nous devons en être conscients.