Je m'exprimerai en tant que coprésidente du groupe d'études « Vigne, vin et oenologie », qui s'était également penché sur cet amendement. Je rejoins ce qu'a dit Grégory Besson-Moreau : nous ne l'avons pas maintenu car nous sommes dans un contrat de confiance. Ce qui a été dit est juste et sensé : il faut laisser à nos vignerons la liberté de faire des promotions s'ils le souhaitent, et nous faisons confiance à ce qui sera ensuite décidé par ordonnances quant à l'encadrement des promotions et l'augmentation du seuil de revente à perte.