Monsieur le rapporteur, je voudrais d'abord très sincèrement vous féliciter, parce que vous réalisez un exploit : vous avez ouvert les placards, vous avez sorti les violons, vous mettez en musique votre amendement, pour essayer d'atténuer d'autres aspects du texte, et vous voulez nous faire danser – plusieurs s'y apprêtent – sur un amendement qui ne résoudra absolument rien. Si nous vous suivons, nous n'aurons pas froid aux pieds ce soir, car nous aurons beaucoup dansé